Stuart (Stu) Errol Ungar - The Kid
mardi 14 Avril 2009 Qui est Stuart Ungar ?
Stu Ungar de son nom complet Stuart Errol Ungar est né le 8 septembre 1953, à New York, et il nous quitta le 22 novembre 1998. Ce joueur professionnel de poker et de gin rami était surnommé Stu « The Kid » Ungar. Stu est encore aujourd'hui considéré comme l'un des meilleurs joueurs de l'histoire aussi bien en Poker qu'en gin rami, tout deux étant des jeux de cartes.
Stu Ungar a passé son enfance dans quartier New Yorkais de Lower East Side, dans lequel il découvri sa passion pour les jeux de cartes dès son plus jeune âge. Le premier jeu de carte auquel il s'interressa est le Gin Rami. Il devint très rapidement un bon joueur de Gin Rami, puisqu'à l’âge de 10 ans, il gagne son premier tournoi (en 1963). Il continu de progresser jusqu'à gagner, à 15 ans, un gros tournoi au cours du quel il remporte le premier prix de 10 000 $. « The Kid » réalisa un véritable exploit au cours de ce tournoui, puisqu'il ne perdit aucune main. Cet exploit reste encore inégalé dans les cercles de jeux new-yorkais. Malheurseusement un joueur reste un joueur, Stu Ungar perdit la quasi totalité de ses gains aux courses la semaine suivant sa victoire. Il aura tout de même la présence d'esprit d'offrir 1 000 dollars à ses parents.
La mort de son père, marqua un tournant dans la vie de Stu Ungar. Suite à ce décès, il dédide ce s'établir à Miami, ville où se jouent les plus grosses parties de Gin Rami. De nouveau en veine, il enchaîne les succès. Il conserve malgré tout son penchant pour les courses et les paris qui le ruinent à petit feu. Au cours d'un tournoi de Gin Rami qui à lieu à Las Vegas, Stu fait preuve d'une parfaite lecture du jeu de ses adversaires. Sa maitrise va jusqu'à annoncer les mains perdantes des autres joueurs. Il gagnera finalement les 50 000 $ du vainqueur du tournoi, mais il paie cher son don de lecture puiqu'il ne sera plus accepté dans aucune partie de Gin Rami.
Stu ne se démonte pas et décide de tenter sa chance dans un autre jeu de cartes très prisé dans les casinos et les cercles de jeux : Le blackjack. A nouveau Stu excelle dans la lecture du jeu et surtout dans sa capacité à compter les cartes, qui lui vaudront de belles réussites aux tables de Blackjack. Grâce à sa technique Stu gagne 80 000 $ dans un des plus célèbres casino de Las Vegas : Le Caesars Palace. La légende raconte qu'au moment où le responsable du casino arrête la partie, Stu annonce, dans l’ordre, les 18 dernières cartes restantes dans le sabot de cartes. Suite à ce dernier coup de génie, il ne put plus jouer dans aucun des casinos du strip, il est interdit de jeu.
Le Poker, un tournant dans la vie de Stu Ungar
1980 marque un tournant pour Stu « The Kid » Ungar, il commence à s’intéresser au poker. Il s’inscrit pour la première fois au tournoi WSOP (World Series Of Poker) alors qu'il ne possède quasiment aucune expérience dans le poker. Comme pour tout les bons joueurs, sa maitrise du poker accroit au fur et à mesure du tournoi pour l'emmener jusqu'en table finale contre le légendaire joeur de poker Doyle Brunson. En battant Doyle Brunson grâce à une quinte, il devient, à 26 ans, le plus jeune champion du monde de poker et empoche 385 000$. Il récidive l’année suivante, contre un autre gand joueur, Perry Green et empoche 375 000$. Suite à ces deux victoires, Stu Ungar devient un joueur de poker redouté. Malgré sa très grande réussite il continu à être hanté par ses vieux démons, il recommence à perdre de forte somme dans des paris de toutes sortes. Il perdra également jusqu'à 2 millions de dollars au craps.
Après une descente en enfer de plusieurs années (divorce, cocaïne..) , il décide en 1997 de participer de nouveau au championnat du monde de poker. Il gagne sont troisième WSOP face à John Strzemp. Suite à cette victoire, il gagne 1 million de dollars et égale l'exploit de Johnny Moss en gagnant 3 titres de champion du monde de poker.
Stu Ungar s'éteint le 22 novembre 1998, dans une chambre d’hotel, seul et ruiné.
Le total des gains de ce joueur de génie, aux tables de poker, sont estimés à 30 millions de dollars. Stu Ungar, restera dans l'histoire l'un des meilleurs joueurs de tous les temps, grâce à sa parfaite lecture du jeu ainsi qu’un sens inné des cartes.
L'âne
lundi 4 Août 2008 L'âne
Le jeu de l'âne n'est guère plus compliqué que la bataille. Les joueurs, en nombre variable à partir de quatre, utilisent un jeu de 52 cartes dont l'ordre est croissant de l'As au Roi.
Ils commencent par en tirer chacun une, et la plus forte désigne le donneur. Celui-ci bat les cartes, les fait couper et les distribue une à une en commençant par son voisin de gauche, dans le sens des aiguilles d'une montre. Certains peuvent ainsi recevoir une carte de plus que d'autres.
Les joueurs en possession d'As les mettent, face visible, sur la table. Sur chaque As viendra se placer le 2 de sa couleur, puis le 3, etc., jusqu'au Roi. Aucun ordre de jeu n'est établi, et l'on dispose des cartes au fur et à mesure que s'en présente la possibilité.
Celui qui se débarrasse le premier de son jeu est le gagnant. On peut soit aller jusqu'au bout de la partie (dans ce cas il y aura aussi un perdant), soit convenir que le gagnant rece-vra de ses adversaires autant de jetons qu'il leur reste de cartes en main.
Le jeu de la bataille
dimanche 3 Août 2008 Le Bataille
C'est le plus simple des jeux de cartes. Il se joue à deux, avec un jeu de 32 ou de 52 cartes. Les quatre couleurs (Pique, Cœur, Carreau, Trèfle) sont équivalentes. Dans chacune, l'ordre des cartes est le suivant :
A R D V X 9, etc.
On commence par tirer la donne, c'est-à-dire déterminer le donneur (celui qui tire la plus forte carte, en un, ou, s'il y a lieu, en plusieurs tirages).
Le donneur bat les cartes, les fait couper par l'adversaire, puis les distribue une à une en commençant par celui-ci, les revers (les dos) en dessus, jusqu'à la dernière. Chacun rassemble son paquet en un tas régulier, sans prendre connaissance des cartes ni en modifier la succession.
L'adversaire retourne alors sur la table la première carte de son paquet (celle qu'il a reçue en dernier), puis le donneur en fait autant. Celui des deux qui a jeté la carte la plus forte ramasse la levée, met les deux cartes (dans n'importe quel ordre) sous son propre paquet, et c'est à lui de poursuivre le jeu comme précédemment.
Lorsque les deux joueurs sortent deux cartes de la même valeur, on dit qu'il y a bataille (d'où le nom du jeu). Dans ce cas, laissant les deux cartes équivalentes exposées, ils en retournent chacun une autre, ou plusieurs s'il y a de nouveau égalité. Le vainqueur de la bataille place le tout sous son paquet.
La victoire finale échoit au joueur qui s'est adjugé la totalité des trente-deux ou des cinquante-deux cartes du jeu.
Bonneteau - Le jeu cartes du Bonneteau
mercredi 23 Juillet 2008 Le Bonneteau
Considéré comme un jeu de cartes, le bonneteau n'a d'autre but que de dépouiller un adversaire naïf (c'est pourquoi « bonneteur » est devenu synonyme de tricheur). En revanche, il forme un excellent tour.
Le bonneteur dispose de trois cartes dont les dos sont identiques : un Pique, un Trèfle et un Cœur. L'adversaire doit deviner la carte rouge parmi les trois qui lui sont présentées à plat, faces cachées.
Le bonneteur saisit d'abord une des deux cartes noires entre le pouce et l'index de la main droite, dans le sens de la longueur. Après l'avoir montrée, il saisit de la même façon la carte rouge, entre le pouce et l'annulaire. Il prend ensuite la dernière carte noire de la main gauche. Après-diverses manipulations destinées à mettre les spectateurs en confiance, il soulève légèrement le médius droit : la carte noire, qui se trouve au-dessus, glisse alors. Ce dépla-cément étant effectué au ras de la table donne l'impression que c'est la carte rouge, placée au-dessous, qui vient de tomber. La main gauche dépose alors la deuxième carte noire à droite de celle déjà lâchée, puis la main droite passe au-dessus des deux cartes et vient déposer la troisième, qui est rouge, à l'extrémité gauche.
Tous ces mouvements sont faits avec une grande rapidité, et l'adversaire n'a aucune chance de deviner où se trouve la bonne carte, sauf si, de temps à autre, le bonneteur juge à propos de perdre. Bien entendu, celui-ci varie la position des cartes entre elles à chaque coup.
Le Bingo - Un peu d'Histoire, historique
jeudi 24 Avril 2008 Les origines du Bingo
Historiquement le Bingo est originaire d' un jeu de loterie appelé "Lo Giuoco Code Loto" joué en Espagne en 1530. XVIII siècle, le Jeu en général a pris de l'ampleur, et arrive en France, les jeux de cartes, des jetons, la lecture des chiffres a été ajouté à la partie. Au XIXe siècle, le Bingo est un jeu largement joué en Allemagne à des fins pédagogiques afin d'enseigner aux enfants les fautes d'orthographe, les noms des animaux, et tables de multiplication.
Au cours d'un voyage au carnaval près d'Atlanta en 1929, Edwin Lowe, à découvert un jeu nommé Beano se joue avec des haricots secs, un tampon de caoutchouc et de feuilles de carton. Lowe, a eu l'idée d'emporté ce jeu avec lui à New York où il l'a présenté à ses amis. Ses amis on beaucoup aimé ce jeu. Pour la petite histoire, on raconte qu'un joueur était si heureux d'avoir gagné qu'il a crié «Bingo» au lieu de "Beano" Ce qui donna le nom à ce jeu.
Le Bingo au XXéme siècle
Bingo a connu un succès fulgurant. Au cours des années 1940 le Bingo était joué dans tout les pays. |