A la fin d'une donne et avant de regarder ses cartes, le voisin de droite du donneur pousse au milieu du tapis un certain nombre de jetons, à l'aveuglette : cet enjeu est récisément appelé blind. Le coup de blind est le coup armai du poker.
Toujours avant de relever son jeu, le voisin suivant a la titude de doubler le blind, ce qui constitue le su.rbli.nd. e blind, dont la valeur est laissée à la discrétion du pre-ier joueur, est obligatoire, mais le surblind ne l'est pas.
Chacun ayant pris connaissance de sa main, c'est le iueur à droite du blind (s'il n'y a pas eu surblind, sinon, est celui qui est à droite du surblind) qui a la parole. Il peut :
soit passer (ne pas entrer dans le coup) ;
soit, s'il veut suivre le coup, miser à son tour, mais un enjeu ne peut être inférieur au double de la somme jposée (blind ou surblind).
Les joueurs suivants se comportent de même : le minium à verser est au moins la plus forte mise précédente. e joueur du blind et éventuellement celui du surblind îivent compléter au moins leur mise, ou relancer (placer ivantage). Chacun complétera à la hauteur du nouvel ijeu, pour pouvoir suivre. Faute de quoi, il abandonne coup et aussi tout ce qu'il a mis.
Cela fait, chaque joueur, à partir de celui qui est à droite i donneur, annonce son écart et jette les cartes près du nnneur, qui les lui remplace. Chacun recomptera ses cartes, ir tout jeu anormal entraîne l'exclusion du jeu et la perte ïs sommes versées.
Lorsque les jeux définitifs ont été ramassés, le voisin ; droite du blind (ou éventuellement du surblind) a le loix entre deux attitudes :
Passer parole (se réserver le droit de parler, une fois a'un des suivants aura misé de nouveau) ;
Mettre lui-même un nouvel enjeu.
Avant que personne ait misé, chacun a le droit de passer irole, mais, dès qu'un enjeu a été engagé, les joueurs dvants seront tenus à :
Passer, ce qui, maintenant, signifie abandonner le coup et les mises antérieures ;
Un joueur reste sans adversaire; il ramasse tout ce qui se trouve sur le tapis. On ne verra pas ses cartes s'il ne les montre pas, mais on peut lui demander de prouver qu'il en a bien cinq ;
Enjeux et relances ont été tenus à égalité par au moins deux joueurs : ces joueurs restés dans le coup abattent leurs jeux, et la plus forte combinaison procure tous les enjeux versés ;
Après égalisation des dernières mises, tous les joueurs passent : les mises restent sur le tapis, et le coup suivant est un pot.
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